Arkazienne connectée
Modératrice
Le 15/07/2009 à 01:38
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Message édité le 15/07/2009 @ 01:38 par Looki.
Bonjour,
Bonsoir,
Bonne nuit,
Bon matin,
Bon appétit,
Maintenant que j'ai déclamé d'un ton théâtral les premières répliques
de mon texte, je vais me lancer dans un message d'une rare violence
verbale et qui va vous faire frémir jusqu'à la base des racines de
votre chevelure (et qu'importe sa coloration).
Pour comprendre la source de ma colère et de mon impétuosité vous avez le choix entre plusieurs hypothèses:
- Vous êtes une bande de pines d'huitres non instruites pour la grande majorité, sans culture et analphabète.
- J'ai mangé un cassoulet et ça passe mal.
- Les feux d'artifice de ma ville a été annulé pour cause de mauvais temps et je suis revenue des berges trempée.
- Je suis enceinte donc lunatique.
- Je suis encore dans une de mes nuits d'insomnie et l'attente des résultats du bac me semble longue.
Donc je le dis, le redis et le confirme même, vous me gonflez. A de
très rares exceptions, vous n'avez aucun raisonnement, vos écrits que
vous trouvez géniaux sont aussi insipides et mal écrits que les
rédactions que l'on peut écrire en primaire et qui finissent
invariablement en bad trip. Je ne citerai aucun des récits auxquels je
pense, plus par flemmardise que par envie de rendre votre peine moins
grande, enfin, j'avouerai également que ce texte deviendrait très lourd
et la totalité d'entre vous, en prenant en considération votre amour
pour la littérature, ne dépasserait pas la quatrième lettre du second
mot de la cinquième ligne du troisième paragraphe.
En fait, j'avais pas grand chose d'autre à dire, ça tient en trois
mots... Vous me gonflez... Et c'est la deuxième fois que je l'écrit
dans ce message. Et puis, l'attitude puérile de certains me laisse
vraiment pantoise, entre les "Moi c'est mieux que toi, hein, hein ! Moi
c'est mieux euh ! Mais je veux pas de compliments euh !" et les "Ah
nan, mais c'est méchant, on m'a insulté en me disant de bouger ! Et on
est méchant avec moi ici aussi alors je pars !". Sans oublier la
réplique mythique "Parait que je n'ai que des défauts... Besoin de
réconfort et que l'on lynche la personne qui a dit ça".
Donc il faut grandir un jour ou l'autre. Neverland n'existe pas, on est
dans la vie réelle ici. Même MJ l'avait compris, même si c'était
peut-être un peu tard. Désolée de vous annoncer ça comme ça, mais j'y
suis pour rien, j'ai décidé d'être sincère. Si c'est trop dur à
accepter, il existe des suivis psychologiques vous savez, vous serez
conseillés et au pire on vous enfilera un joli gilet blanc. Ils nomment
ça misacole ou un nom étrange de la sorte. Peut-être un message caché ?
Misa colle ?
Enfin bref, je pense qu'en faisant le plus long texte à valeur
argumentative au monde, ça ne vous ferait pas changer pour deux copecs.
C'est pourquoi, gentes dames et gentilshommes, je me permet de vous
inviter à un représentation unique des Fables de la Monta(i)gne.
- Le rideau du théâtre, d'un rouge vermillon quelque peu élimé sur le
bas se releva doucement et apparut sur la scène une jeune première dont
les boucles brunes tourbillonnaient en cascades jusqu'au creux de ses
reins. Celle-ci, tout d'abord peu assurée, releva le menton et commença
à déclamer.-
"Le Surfeur et la rafale
Maitre surfeur, sur une falaise perché,
Tenant en sa bouche un sandwich,
Vit arriver à lui le jour blanc.
Celui-ci, par le morceau de pain alléché,
Fit souffler le vent en tourbillons,
L'homme, tenta vainement de s'y raccrocher,
Mais les bourrasques furent les plus fortes,
Et le fromage, au côté du jambon s'envola.
Le surfeur, attristé, jura que cela lui servirait de leçon,
La prochaine fois, il choisira un autre compagnon,
Les sandwichs ne sont pas si bons."
- A la fin de la fable, le public, silencieux darda son regard sur la
pauvre jeune fille qui sortit à toute vitesse de la scène. Le rideau
retomba et ne se releva plus devant le manque de réaction. -
Hum, bref, bref. Je ne m'éterniserai pas plus longtemps en ces lieux.
Je vous souhaite bien du repos et à défaut de méditer sur mes propos,
au moins puis-je espérer que vous les lirez.
Je voulais rajouter en outre que le changement effectués sur certains
topic et dont les anciens semblent nostalgique tiens tout autant à nos
nouveaux membres qu'aux anciens. Je n'ai pas de solution, mais si au
lieu de lire un manga tout en parlant araignées ou d'esquiver chaque
coup pour revivre tout de suite après une mort, vous vous battiez
réellement avec des armes qui existent dans la vie de tous les jours
alors peut-être que vous pourrez changer et retourner à un système qui
convenait à la plus grande majorité. On peut d'ailleurs noter que
certaines personnes qui y ont tout d'abord posté ont arrêté. Peut-être
faut-il aussi se remettre en question.
Ah, je profite de ce message pour dire que si vous n'avez pas le cran
de supporter les messages que vous postez, alors ça ne sert à rien de
les supprimer ou les faire supprimer. Même si vous subissez la pression
de forces extérieures ou non. Je pense que le mal-être que je ressent
sur ce site et qui est croissant, au fur et à mesure du temps, repose
également sur les non-dits. Ayez le cran d'affirmer ce que vous écrivez
bon sang, on est pas parfaits, mais surtout, ne pas montrer aux autres
ce que l'on veut leur dire c'est complètement débile.
Bin oui, Looki elle en a marre, elle en a ras-le-bol des non-dits et de
l'hypocrisie. Si je suis une mauvaise modératrice, il faut le dire, si
je suis blessante il ne faut pas le dire (Bin oui, vous croyiez quoi ?
Que j'étais une personne qui acceptait facilement les critiques par
rapport à ses propos ?), si vous pensez que je n'ai rien à faire ici,
faut également me le faire savoir, j'ai repéré de nombreux forums dont
les propos des membres me permettraient de tenir de vrais débats qui ne
s'ésouffleront pas en deux jours et trois heures.
Si vous êtes mal à l'aise après ce long message, tant mieux, si vous
vous sentez concernés, ça dépend de qui il s'agit, mais sachez que je
ne vise pas l'intégralité des membres d'Arkazia. En espérant vous faire
comprendre quelques petites choses.
Je me permet d'ajouter la maxime, à tout hasard, "Il n'y a que la vérité qui blesse". |